Récits de l'enregistrement
Par
Ingrid le 23/11/2005
Après
une folle journée passée au Virgin Megastore la veille,
la pression est nettement retombée le lendemain !
Un public beaucoup moins nombreux mais les fidèles fans étaient
là. Du Nord (ils nous avaient d'ailleurs ramené leur climat
polaire) du sud, de Belgique (coucou zaz...euh Hélène),
de Senlis...bref un beau panorama...il faut dire que nous avons tous
gardé un souvenir mémorable de 2002 et de Mano Solo et
Axel Bauer. L'exploit ne sera pas renouvellé en 2005 malheureusement,
c'était court !!! Trop court...
Quelques
menues anecdoctes pour commencer, le matin la première était
arrivée à 9h30, glaps. Faut le vouloir, la majorité
des premiers quidams étant sur place vers 16h. A 18h30, il restait
encore un petit paquet d'invits, une bonne petite vingtaine à
vue de nez. Surprenant pour "le pont des artistes" !!! Les
autres invités Bumcello (Cyril Atef et Vincent Ségal les
musiciens de -M-) et Brisa Roché. Chacun pour au moins 4 titres.
Isabelle Dhordain égale à elle même. Une bonne interview,
et même une participation de Richard pour présenter le
festival des aventuriers dont il est le parrain à Fontenay sous
bois et sa soirée du 16/12. Il faudra des vigils d'après
JL. Ha ha... J'ai bien ri (intérieurement) quand JL a sorti les
rames pour expliquer que lui aussi comme les Bumcello improvisait (eux
le font vraiment !) et qu'il lui arrivait d'inverser des titres de chansons
(ca c'est de l'impro !). Jl a
voulu refaire un titre 'ailleurs'.
Fin
du show, là les oreilles s'affolent, Isabelle Dhordain a dit
la phrase magique "je te laisse les clés du studio".
Elle suggère à JL d'inviter les Bumcello, pour faire un
boeuf et quel boeuf M-A-G-I-S-T-R-A-L, il fallait voir Cyril Atef, debout
sur les futs de Richard taper avec lui pour "un autre monde",
et le duo de batterie sur le fameux "whole lotta love" de
Led Zep, et ces envolées du violoncelle de Vincent Segal, son
machin qui sonne comme une guitare électrique. Seule fausse note
au tableau, la pauvre Brisa Roché, qui observait tout ça
de sa chaise, et qui ne voulant pas y aller a été poussée
par je ne sais qui et quelques personnes du public, résultat
elle s'est retrouvée à côté de JL qui au
lieu de lui proposer un standard américain (puisqu'elle est américaine),
a balancé "un autre monde", pour nous c'était
facile, pour elle une catastrophe, elle n'a pas pu sortir un mot (j'suis
même pas sure qu'elle la connaissait), résultat c'est le
public qui chantait, à un moment ils ont ralenti Brisa a improvisé
des
bredouillements sous forme de mmmmmmmmmmm/mmmmmmmm ;-) Bref, une espèce
de bouillie, et pendant ce temps l'autre fou de Cyril Atef courait d'un
bout à l'autre du plateau avec ses maracas PTDR, Richard tapait,
et nous on chantait (on a l'habitude avec Louis).
Et puis
paf ça s'est terminé comme ça, rien d'autre, le
rab tant attendu n'est pas venu, ils sont partis en vitesse pas d'autographes
à l'intérieur comme Bertignac l'avait fait il y a 6 mois,
pas la même ambiance c'est sûr.
Par
Laurence le 20/11/2005
16
H nous voici dans les locaux de France Inter, ça fait du bien
de pouvoir attendre au chaud, mais finalement on va quand même
aller squatter l'escalier de derrière et quelques instants plus
tard cela s'avèrera payant ;-))
Retour dans le hall où c'est avec grand plaisir que l'on retrouve
certaines personnes, mention spéciale à Franck et Eric
qui nous ont bien fait marrer (hein Val ? ;-))
Une fois installés dans les premiers rangs du studio (merci à
ceux passés par la porte B ;-)) ça démarre vite
et bien : « A ceux qui passent », « Parle moi »
Je découvre Brisa Roché : un univers musical particulier,
pas désagréable ; Bumcello : délirant et génial,
JL a l'air d'apprécier. Si ma mémoire est bonne on a eu
le droit à « Ailleurs », « Tu comptes »
et « On aime ». Tout cela s'est terminé par une reprise
de Led Zep « Whole lotta love » accompagné par Bumcello
et « Un autre monde » un peu perturbé par Brisa Roché,
pas de sa faute mais la pauvre ne connaissant pas le morceau a eu beaucoup
de mal à improviser.
On mange
un morceau, on se dit au revoir et à bientôt.
Retour
vers la presse Jean-Louis Aubert
|