|
Chroniqueurs : Guy Carlier, Willy, Vincent Roca,
Joëlle Goron, Hervé Pauchon et Eric Neuhoff,
Gilles Thessier, et le pianiste Richard Lornac.
Autre invité Myriam De Colombi. Info programmation
sur franceinter.com
"Quand Paris s'éteint" en duo avec Raphael voir un extrait vidéo
Par
Kdo le 17/12/2003
L'intervention
de quelques chroniqueurs, Willy nous parlant des Forbans...
j'ai pas tout compris mais sympa..., Dauphin où Daucin
? Enfin un autre Chroniqueur parlant de Richard comme Robot-batteur
(mixeur) de Jean-Louis et de 2 Téléphones
qui avaient remplacé les jambes de Jean-Louis...
un ton original, Jean-Louis lui a embarqué ses écrits
...
Un autre, (toujours chroniqueur) a ramené des poupées
et Ingrid a flashé Jean-Louis avec un poupon dans
les bras :)
Vous
avez dû écouter ou enregistrer ... alors pour
le visuel : c'est le bleu qui se distinguait dans le studio,
Jean-Louis était en noir (veste-pantalon) et un tee-shirt
gris, parlait devant un micro avec une mousse jaune, avait
un gobelet vide avec un sachet de thé utilisé
(Lipton) et deux sucres en morçeaux dans les doigts
qu'il n'a pas arreté de titiller (si ça c'est
pas des détails) !;-)
A
la fin, nous sommes allées faire des bisous :)) je
voulais lui demander s'il craquait pas (pour la clope),
mais j'ai opté pour le silence qu'engendrait ma bouche
contre sa joue ...
oooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh
kdo
:-X
Par
Ingrid le 27/12/2003
10h
- Le hall de Radio France n'est pas encore
plein, mais une cinquantaine d'habitués trainent déjà, des
chasseurs de stars pour la plupart, on est loin de l'affluence
du Pont des artistes en octobre, au guichet un paquet de
petits jaunes est encore dispo. L'heure et le format interviews
ont fait fuir plus d'un fan. Et pourtant, c'est souvent
dans les endroits les plus improbables qu'ils se fasse le
plus inoubliable. ( duo improvisé entre Raphaël et Jean-Louis).
10h50
- Vite montons vers le studio de Stephan Bern, on dépasse
le studio Charles Trenet du Pont des artistes pour arriver
dans la salle Guitry plus petite, mais
dont les sièges sont toujours aussi confortables. La plupart
des chroniqueurs est déjà assis, hormi Joëlle Goron
qui fait son entrée de femme d'affaires à la dernière minute.
11h05
- Fin des infos. Stephane Bern annonce Jean-Louis. L'émission
commence par Guy Carlier, habituellement
assez grinçant mais face à Jean-Louis doux comme
un agneau. Il lui reparle de l'émission de Delarue
en 97 pour la promo de Stockholm, où Jean-Louis avait
vidé ses poches, avec des "cailloux marocains".
0n apprendra entre autres qu'à l'époque de Téléphone, en
77-78, dans un club de l'Isle-Jourdain "le pied",
ils buvaient beaucoup et étaient payés en Pastis, que son
père, son grand-père et son arrière grand-père
sont nés dans un petit village en Provence (Ville-sur-Ozon)
où son arrière grand-père racontait
des histoires
dans les bars (de chasse et de braconage). La palme du meilleur
chroniqueur
revient à Vincent Roca, dans un très long
portrait de Jean-Louis rudement bien ficelé qui nous laisse
tous baba, y compris Jean-Louis qui repartira avec les feuilles.
Joëlle Goron nous crache des banalités, on sent
son intervention préparée à la dernière
minute. Willy et son ton de baleine qu'on égorge,
dommage il n'a pas choisi le bon "ennemi" des
écoles, à l'époque c'était plutôt
Téléphone / Indochine que Téléphone
/ Les Forbans !!!
11h35
: Raphaël débarque sur le plateau, pour "O
compagnons" en play back orchestre, pas facile
de se chauffer la voix à 11h du matin, le trac est
visible, malgré sa 7ème fois au "Fou
du roi" ! Pas d'interview, il remonte directement dans
la cage de verre de la régie, d'où on le verra
régulièrement.
12h00
: Infos Inter, quelques habitués, ou non se précipitent
vers la table d'interviews pour les autographes
et photos, et Gilles Thessier arrive pour la 2ème
partie de l'émission avec son sac en plastique "Toy'r
us" pour sa chronique "tendances" et dans
lequel Jean-Louis n'aura de cesse de fouiller à la
recherche des poupées et autres baigneurs. Myriam
de Colombie une actrice arrive elle aussi.
12h20
: arrive LE MOMENT de l'émission,
Raphaël revient pour "Quand Paris s'éteint"
hommage à Jean-Louis au piano, le musicien local,
Richard Lornac. Et Jean-Louis poussé par Stéphane
Bern attrape le pense-bête de Raphaël pour les
paroles et se lance sans filet en direct avec Raphaël,
chacun alterne les phrases, c'est beau, inattendu dans ce
genre d'émissions, bref ce genre d'évènement
qui nous fait regretter la façon très rigide
dont s'est déroulé la tournée 2002/2003
(Toujours la même setlist), et nous fait un peu espérer,
Jean-Louis est toujours capable d'improviser.
12h30
: fin de l'émission, Gilles Thessier
termine sa chronique sur les poupées tendance qui
pètent, et se maquillent. Jean-Louis repartira avec
une des poupées, au nez et à la figure d'une
petite fille qui était dans le public, et bavait
devant des jouets, mais non il faut les rendre seul Jean-Louis
aura son petit cadeau. Il reste un certain temps, pour signer,
poser, et parler (La tournée des Iles -Tahiti- snif
c'est loin ...)
Photos
Ingrid
Retour
vers la presse Jean-Louis Aubert [Maj
: 24/07/2007]
|